Première visite dans cette institution du chocolat parisien. J’avais en tête les descentes de Sonia Rykiel à la boutique de la rue des Saints-Pères, l’aura de luxe, de savoir-faire et de confidentialité de la maison. Las, patatras. Les coques des chocolats sont épaisses, les ganaches d’une banalité confondante, le praliné pâteux. 40 euros pour 250 grammes de désillusion alors qu’on rêvait de volupté.

Après nous être informés par téléphone des jours et des heures d'ouverture de la boutique Rue Vivienne, il nous a été confirmé que le magasin était ouvert le samedi 2 Janvier à 9 h. Après nous être déplacés de banlieue, quelle ne fût pas notre surprise de trouver la boutique close ? sans la moindre indication ?
Nous trouvons cette attitude d'une grande désinvolture envers les clients !!! à une époque où les commerces se plaignent de la situation économique.
Peut-être que vous, avec le chocolat vous gagner trop d'argent ???
Nous ne sommes pas rentrés bredouille et avons choisi pour nos 3 grands boîtes à offrir un autre prestigieux chocolatier heureux de nous servir.
Devant votre attitude et après plusieurs années, il est bien entendu que nous ne fréquenterons plus vos boutiques.

Hélas, voilà une belle marque moribonde..... fidèle cliente depuis des années .... nous avons eu la mauvaise surprise de déguster un chocolat « pre-fabriqué » industriel....fourré dans une coque épaisse comme les chocolats de Carrefour ... minable et indigne.... en lisant que maintenant c’était la nouvelle génération des Debauve qui avaient repris le flambeau et bien c’est lamentable et faites autre chose, vendez votre marque à des gens capable de nous redonner nos chocolats!!